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Berichten - Asafu

#121
Babbelhoek / Re: woorden
09/06/2006 om 22:04:20
Citaat van: Dora op 09/06/2006 om 22:03:18
moutegh =ben dood

Ghana = Zin
#122
Geschiedenis / Re: Museum Maarschalk Mezziane
09/06/2006 om 21:49:15
Maarschalk Mohammed Ameziane is de schoonvader van generaal Mohamed Medbouh (1927-1971)
#123
Geschiedenis / Re: Museum Maarschalk Mezziane
04/06/2006 om 18:47:39
Hommage à un défenseur du Trône et symbole de proximité avec l'Espagne L'inauguration, samedi 27 mai, du Musée Maréchal Mezian à Nador, a constitué le prolongement des grandes manifestations célébrant le 50e anniversaire de la création des Forces Armées Royales.

Placée sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, une importante cérémonie a eu pour cadre la petite bourgade de Beni Ansar, à une douzaine de kilomètres de Nador, symbole de ce Rif fier et élevé où Mohamed Ben Kacem Az-Zahraoui â€" qui deviendra plus tard Maréchal Mezian â€" avait grandi et fait ses premiers pas de jeune homme. Une délégation officielle, en provenance de Rabat et de Casablanca et d'autres régions, s'y est rendue en force.

Elle était composée entre autres de MM. Fathallah Oualalou, ministre des Finances et de la Privatisation, Habib El Malki, ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la Recherche scientifique, Mustapha Mansouri, ministre de l'Emploi et de la Formation professionnelle, Mahjoubi Aherdane, ancien ministre de la Défense , Moulay Ismaïl Alaoui, secrétaire général du PPS, M'Hamed Diouri, membre du comité dirigeant du Parti de l'Istiqlal, Abdelouahab Benmansour, historiographe du Royaume, Mansouri Benali, chargé de mission au Cabinet Royal, Noureddine Chmâou, Mme Bahija Simou, historienne et chargée de mission du Cabinet Royal.

La délégation comprenait par ailleurs des officiers supérieurs des FAR dont notamment le général Bouchaïb Arroub, le général Abdelhak Kadiri et le général Mohamed Belbachir, Othman Benjelloun, président du groupe BMCE Bank, le Dr. Leila Benjelloun Mezian, présidente de la Fondation Benjelloun et fille du maréchal Mezian, accompagnée au demeurant des membres de la famille Mezian â€" petits-fils et petites-filles -, des officiers supérieurs des forces armées d'Espagne, l'ambassadeur d'Espagne Luis Planas Puchadas, le gouverneur de la province de Nador, Abdallah Bendhaïba, les autorités et les représentants de la ville ainsi que des membres du groupe BMCE Bank. Une cérémonie familiale, à dimension nationale où, l'émotion mêlée au souvenir, l'histoire d'un soldat au long cours a été retracée, décrite par des témoins, une destinée individuelle confondue souvent avec un destin national. Le souvenir parcourait la salle de conférence du Musée, certes, mais allait au-delà de cette mer méditerranéenne qui, à quelques centaines de mètres, constitue la symbolique frontière avec l'Espagne qui est de tout temps, non pas uniquement notre voisine immédiate, mais notre miroir aussi.

Le ton a été donné immédiatement avec un long témoignage de Mme Bahija Simou, historienne militaire si l'on peut dire, dont la voix faite de conviction et de chaleur communicative emplissait d'échos la salle du Musée et résonnait telle un fond de musique. Elle a parcouru à travers quelques pages passionnantes la carrière d'un homme appelé très tôt à faire l'Histoire, à relier deux destins, celui du Maroc et de l'Espagne, à jouer le rôle de vecteur d'une amitié que l'épreuve et la guerre n'avaient fait que renforcer. Son témoignage d'une grande richesse a mis en exergue le Haut patronage par Sa Majesté le Roi Mohammed VI de l'inauguration du Musée qui constitue, dit-elle, un événement majeur à la mémoire du Maréchal Mezian, héros d'une époque, soldat fidèle, figure emblématique de l'armée marocaine et espagnole. Mme Simou a souligné que Mohamed Mezian a été, aux côtés de feu S.M. Hassan II, alors Prince Héritier, l'un des fondateurs des FAR.

L'historienne militaire qu'elle est a choisi expressément de décrire cette période, 1956 à 1975, parce qu'elle focalise l'engagement d'un homme, qui avait déjà derrière un demi-siècle de faits d'armes, qui était chamarré de plusieurs décorations, qui à la tête d'un corps d'armée espagnol de moins de 20.000 soldats d'origine marocaine, montés du Rif, avait porté un rude coup aux républicains â€" à la bataille de Oued El Jarar â€", à Teruel, à la bataille de l'Ebro, bref un homme vertueux célébré par l'Espagne et par le Maroc. Il avait rejoint en 1956 les Forces Armées Royales et avait servi le Trône avec fidélité jusqu'à sa mort en 1975, après avoir connu un parcours à la fois singulier et diversifié.

C'est à ce parcours riche et diversifié que Mahjoubi Aherdane, le langage libre et ému, a tenu à rendre hommage. D'abord en tant qu'ancien soldat, ensuite en tant qu'ancien ministre de la Défense ayant connu le maréchal Mezian et en tant que témoin d'une période décisive de l'histoire du Maroc. " Il avait, dit-il, la pureté de l'âme et incarnait la figure du grand soldat. Il a fait la guerre d'Espagne dans la peau d'un Marocain, pour un pays ibère en tant que berbère.

Il a combattu en héros." Et d'ajouter " qu'un ministre de la défense comme moi, avec des grands comme le maréchal Mezian, c'était plus que la grandeur…Il restera une référence ". Evoquant l'autre figure des FAR, le général Kettani, Mahjoubi Aherdane, subtil et accrochant la salle, rappela ainsi " deux grands destins de l'armée, l'un issu des rangs d'Espagne, l'autre des rangs français mais tous deux engagés en 1956 pour l'idéal du Maroc, deux volontés, deux cultures et deux fiertés, l'un berbère et l'autre fassi. Il fallait les réunir. Ils avaient fini par s'embrasser… ", a-t-il souligné.

Ils avaient fini par se réunir et s'embrasser… En concluant son témoignage, qu'une mémoire phénoménale parcourait, Mahjoub Aherdane a quitté le podium, toujours aussi altier, Aherdane le berbère ! Et Othman Benjelloun, non moins ému, l'originaire de Fès s'est aussitôt levé et, avec l'orateur, se sont donné l'accolade. Ainsi l'histoire, celle d'un même destin, celle du Maroc berbère et arabe, a-t-elle continué au fil de la mémoire qui célèbre une continuité sous le regard d'un maréchal, serviteur de la nation, que l'artiste espagnol Escartin a immortalisé en 1970.

L'inauguration du Musée, cérémonie familiale nationale, a comporté plusieurs enseignements : celui du lien tissé entre la Monarchie et le peuple, celui du fond du Rif étant à l'honneur, celui ensuite de la réhabilitation de ce même Rif reclus des années durant et que S.M. le Roi Mohammed VI, dès son accession au Trône en juillet 1999, a tenu à visiter. L'enseignement ensuite d'une réconciliation nationale célébrée à travers une figure militaire, enfin celui de l'irréversible destin commun qui unit le Maroc et l'Espagne, séparés par un plan d'eau certes mais unis fortement et organiquement par des hommes comme Mohamed Bel Kacem Az-Zahraoui, issu d'un petit village mais dont l'histoire du XXe siècle a projeté deux peuples et deux nations dans un même destin collectif et partagé. Lui-même, visionnaire et d'une suprême sagesse, n'avait-il pas proclamé à Madrid en 1966 que " les Espagnols et les Marocains entretiennent des relations amicales très profondes et forment une famille. Il est vrai que le détroit de Gibraltar les sépare mais il les réunit en tout ce qu'ils ont en partage... " ?

Perpétuer sa mémoire et désenclaver culturellement une histoire mise aux oubliettes. On pourrait ainsi en conclure ! Cependant, nul mieux que sa propre fille, Leïla Mezian Benjelloun, ne saurait si bien le faire : "A travers la création de ce Musée, dit-elle, aménagé au sein de notre demeure familiale, construite au début du siècle dernier et restaurée dans le strict respect de son architecture et de sa décoration initiales, se perpétue la mémoire d'une personnalité militaire marquante qui, toute sa vie durant, a été défenseur des valeurs et institutions sacrées du Royaume, en même temps qu'il a symbolisé la proximité et la fraternité d'armes maroco-espagnoles. "
Portrait du Maréchal Mezian

Né à Beni Ansar le 1er février 1897, il avait vécu dans ce Rif austère et fier une enfance que son père Bel Kacem Mezian et sa mère Fatima Bentahar avaient marquée de leur sceau. Adoubé par le Roi Alphonse XIII, il intégra l'Académie militaire d'infanterie de Tolède, où il rencontrera d'autres figures comme Franco, Varela, Yague et Garcia Valino. C'est une carrière impressionnante qui d'un grade à l'autre, d'une campagne à l'autre, au fil de l'épée, fera de lui le soldat exemplaire à travers une longue période où il gravira les échelons jusqu'à devenir en 1941 général de brigade et lieutenant général en juin 1953 au sein des Forces armées espagnoles. C'est le couronnement, le singulier destin que des pièces rares, accoutrements, décorations, chaussures, capes et képis hauts en couleurs, exposés au Musée qui porte son nom, nous exposent et offrent à notre insatiable admiration.

Il porta sa marque décisive à la création et à l'organisation en 1956 des FAR qui, a souligné Mme Simou, devaient constituer le pilier d'une nouveau Maroc. Le général, constamment à pied d'Å"uvre, avait alors rempli son devoir de soldat, ensuite, dès 1966, celui d'ambassadeur de S.M. le Roi à Madrid ; il fut décoré plusieurs fois au Maroc et à l'étranger, notamment en Espagne, au Liban, en Syrie, en Irak, en Egypte, en Tunisie, en Yougoslavie, au Portugal, en Allemagne et en Russie. Il a été également ministre d'Etat et ministre de la Coordination de l'Administration de la Défense nationale. Il fut, hommage suprême rendu à un serviteur du Trône, l'objet d'une citation de feu S.M. Hassan II, chef suprême des FAR, qui loua ses vertus, son engagement et sa compétence, et fut décoré par le Souverain défunt de l'insigne de l'Ordre du Trône alaouite et, le 17 novembre, Mohamed Belkacem Az-Zahraoui Mezian était nommé maréchal, devenant de ce fait le premier et le seul, jusqu'à nouvel ordre, maréchal de l'histoire du Maroc. Lorsqu'il décéda en 1975, feu S.M. Hassan II s'était rendu en personne en son domicile pour rendre visite à sa famille et des honneurs militaires et civils lui furent rendus à ses obsèques.
#124
Taal / Re: 1 seconde tijd voor jou...
04/06/2006 om 18:26:39
Citaat van: Dora op 29/05/2006 om 16:06:18
ik vind het een verrijkking...

Als het maar geen uraniumverrijking is
#125
Algemeen / Re: Amazigh profeten??
04/06/2006 om 18:11:57
 Anas bnou Malik vroeg verbazend:”Maar waarom mijn Heer!!!?” De Profeet antwoordde nogmaals:”God heeft een‘Gezant’ naar hen gestuurd, ze hebben hem vermoord, gekookt en ze hebben van zijn vlees gegeten, vervolgens hebben zij de jus (soep) aan hun vrouwen gegeven waardoor ze niet in hun smaak is gevallen (niet lustten)”…


http://www.islaam-online.nl/cgi-bin/forum/YaBB.pl?board=aqiedah&action=display&num=1024253627&start=98
#126
Citaat van: Blablabla op 21/05/2006 om 14:18:34
Vertel eens.Wie van de Amazigh mannen heeft een baard? 

Bedoel je gezichtsschaamhaar?
#127
Muziek / Re: op zoek naar adjunist...
20/05/2006 om 21:20:20
Citaat van: amerzi op 19/03/2006 om 14:59:53
azul gawam
ik ben een tijdje op zoek naar een ajunist, fluitist . liefst iemand met  disipline en leergierig is.
emailen graag naar: amerzi1@hotmail.com

aqadi

Ik ken wel adjunist, die speelt alleen hallal muziek indien het iets voor je is laat het weten (liever via PM.)
#128
Citaat van: Dora op 19/05/2006 om 11:37:05

Citeer

hoeo een idiote uitsprak? allah heeftalle taken geschaapt en iedreen is gelijk toch? ewa waarom moet ik in een andere taal gaan bidden? de taal van mn landbezetter nog!! of is allah soms een arabier?

heel simpel.

islam is universieel...het dient niet gekoppeld te worden aan een natie.
Allah swt heeft gekozen om de verzen in de Qouraich taal te openbaren en die taal dient om andere moslims nader bij elkaar te brengen. denk bv aan de salaam-groet.
in mekka komen moslims van de hele wereld, en vele spreken het arabisch en verstaan elkaar..maar als ze bij hun eigen landgenoten zijn dan spreken ze hun eigen taal...een vb zijn de turken...vele beheersen het arabisch maar er is geen volk dat zo gehecht is aan zijn taal dan de turken...

daarnaast stel dat je het gebed in het tamazight zou verrichten..denk je dat vertaling van arabisch naar tamazight 100% juist is?...(geldt by the way voor alle vertalingen)..

dit is bid3a..bid3a leidt tot de hellevuur...

dus geen goed idee...

“ Ina EL A3raba Achadou Koufra Wa Nifaqa”. ;)
#129
Literatuur / Re: Aanraders
14/05/2006 om 22:13:22
Wat zou je doen als een “ machtige zieke individu” de mooiste jaren van je leven ontneemt??
En hoe zou je erna voelen je voor leugenachtige trut word uitgemaakt ??

#130
Filosofie / Re: De vrijheid van de mens
14/05/2006 om 22:04:45
Relatief vrijheid bestaat wel

Absoluut vrijheid ook maar die “komt” na de dood hihihihi

#131
Literatuur / Re: Aanraders
14/05/2006 om 21:47:32

Als je over een zwaar beladen onderwerp schrijft is het handig als je een beetje overdrijft, liegt...zodat het verhaal niet de “ droog “ bij de lezer over komt

#132
Literatuur / Re: Aanraders
14/05/2006 om 21:34:12
Citaat van: Zouzinha op 14/05/2006 om 21:27:06
Citaat van: ameziane op 14/05/2006 om 20:49:40
Nou, ik vond haar eerste boek wel interessant om te lezen...vooral hoe ze het paleisleven beschrijft.

Maar wel een boek met een hoog 'zakdoekjes-gehalte'.
Heb het sowieso niet echt met dat soort boeken.
Bovendien kwam haar verhaal helemaal niet geloofwaardig over bij mij, dus ik betwijfel of haar beschrijving van dat paleisleven ook klopt.

Drink jij wel eens thee of  koffie zonder suiker??
#133
Filosofie / Re: De vrijheid van de mens
14/05/2006 om 21:29:08

Vrijheid is:

Met een straatarme en kinderloze “prinsesje” op een zeilboot

#134
Literatuur / Re: Aanraders
14/05/2006 om 20:29:48
http://www.maroc-hebdo.press.ma/

MHI numéro 697
Semaine du 5 au 11 Mai 2006
#135
Literatuur / Re: Aanraders
14/05/2006 om 20:20:07
In vrijheid


Beschrijving:
In haar bijzondere, hartverscheurende boek De gevangene vertelde Malika Oufkir over hoe zij en haar familie twintig jaar lang opgesloten zaten in een gevangenis in de Marokkaanse woestijn. De gevangene was wereldwijd een bestseller, en honderdduizenden lezers vroegen zich af hoe het Malika sindsdien is vergaan.

In haar nieuwe boek In vrijheid beschrijft ze hoe het is om terug te keren in de vrije wereld na twintig jaar in de duisternis geleefd te hebben. Haar nieuwe vrijheid voelde helemaal niet vrij, en ze begreep niets van onze wereld, waar toch nog zoveel dingen verboden zijn.
Openhartig vertelt ze over hoe moeilijk het voor haar was om zich aan te passen aan de hedendaagse tijd: over hoe ze voor het eerst in haar leven een geldautomaat gebruikte, hoe overdonderd ze was door het duizelingwekkende aanbod in de supermarkt, en vooral over hoe het was om verliefd te worden en voor het eerst in haar leven een intieme relatie te hebben met een man.

In vrijheid is een intens persoonlijk verhaal van een vrouw die moest leren leven met haar herwonnen vrijheid. Het is een aangrijpend en geestig boek, vol wijsheid en inzicht, dat door de vele bewonderaars van Malika Oufkir met enthousiasme zal worden ontvangen.

   

(Nog niet verschenen - U kunt deze titel reserveren) Beschikbaar op 08.09.2006
Paperback | 224 Pagina's | Uitgeverij Arena | 2006
ISBN: 9069746913