Verlos ons van de Fassi's & Fihri's!

Gestart door Señor Canardo, 14/01/2010 om 16:58:33



Chatt zie arif

Citaat van: incognito op 19/01/2010 om 16:39:42


Dat is Marokko,Inco...

In Rusland hebben ze Matroesjka's,je weet wel,van die houten poppetjes die eindeloos in elkaar passen.Wij in Marokko hebben een hiërarchie van eindeloos elkaars hand kussende meatpuppets. Als je in Rabat begint zou het in theorie mogelijk moeten zijn om een menselijke keten van handen-lebberaars rondom Marokko te leggen.

Ik hoop maar dat ze regelmatig hun handen wassen...

Señor Canardo


Chatt zie arif

#64

Nee,Inco...dat is het zichtbare topje van de (witte) ijsberg,het (zwarte) deel dat veilig opgeslagen ligt bij die minaretten-verbieders zul je nooit ergens op papier zien staan.Zelfs de bankrekening is een (anoniem) gecodeerde rekening waarvan je de eigenaar niet achterhalen kunt.



Die gewiekste Zwitsers zijn me trouwens ook een volkje...,zwarten/moslims schoppen ze van hun vlag af,minaretten worden verboden,maar elke corrupte zwarte of despotische moslim massa-moordenaar/generaal/koning/keizer/admiraal wordt met de nodige egards ontvangen.

Ja,Inc....international justice,weet je nog ?

Señor Canardo

#65
Wat dat betreft geef ik je ook geen ongelijk. Die Zwitserse gastjes zijn ondanks hun "neutraliteit" 's werelds grootste fiscale slavendrijvers. Ook in Marokko... >








Señor Canardo

#66
Maar dat betekent nog niet a Chatt dat wij als Marokkaanse onderdanen geen kritiek mogen uiten op de grootverdieners uit de publieke sector van Marokko. Ook niet als deze lui overduidelijk hebben gefaald net als in Beni Chiker. Of wel soms? Klik hier voor een Nederlandse vertaling... >


Mustapha Bakkoury

Caisse de Dépôts et de Gestion

130 000 DH nets /mois

Belle carrière publique que celle de Mustapha Bakkoury. Ce quadragénaire, qui a gravi les échelons dans la filiale bancaire de la BNP Paribas, a été porté en 2001 à la tête du plus grand établissement public de l’Etat : la CDG. Plus de 200 filiales ou participations qui se trouvent sous la coupe de Bakkoury. En plus d’avoir redonné une nouvelle dynamique à cette institution, Bakkoury reviendrait nettement moins cher à l’Etat que ses prédécesseurs. Avec un salaire de 130 000 dirhams seulement, ce lauréat des Ponts et chaussées arrive à peine à se frayer une place dans le podium des plus gros salaires de l’Etat. Et malgré son prestigieux poste, il est resté aussi modeste que discret : sa voiture de fonction est une Peugeot 407 qu’il lui arrive souvent de conduire lui-même.


Driss Benhima

Royal Air Maroc

130 000 DH nets /mois

Ce polytechnicien a quasiment fait toute sa carrière dans la fonction publique. Il a dirigé l’OCP, ensuite l’ONE, avant d’être nommé ministre des Transports, de l’Energie et des mines au sein du cabinet Abdellatif Filali. Il a été également à la tête de la wilaya de Casablanca, mais aussi directeur de l’Agence du Nord, première structure de développement régional. Autant dire que cet ingénieur est un fin connaisseur des rouages de la fonction publique, mais aussi de toutes les grilles de salaires de l’Etat. Ses émoluments n’ont d’ailleurs pas cessé de faire le yoyo au rythme des fonctions qu’il a occupées. Mais en 2006, il réussit un atterrissage en beauté. En reprenant les rênes de Royal Air Maroc, il a su négocier le meilleur salaire de sa carrière : 130 000 dirhams, sans compter les suites mises à sa disposition dans les hôtels d’Atlas Hospitality, la chaîne hôtelière de la RAM.


Anas Alami

Barid Al-Maghrib

80 000 DH nets /mois

Après avoir fait ses armes dans la finance (il était l’un des actionnaires de la banque d’affaires Upline Securities), Anas Alami opère en 2006 un revirement de carrière en devenant directeur général de Poste Maroc. Depuis, l’établissement public voit grand : une transformation en société anonyme et une entrée dans la planète finance avec son projet de banque postale. Mais côté rémunération, Anas Alami est loin d’avoir gagné au change. Son salaire de 80 000 dirhams est inférieur à ses revenus du temps où il jouait aux golden boys. Mais peut-être bien que la transformation de Barid Al-Maghrib en société anonyme amènera une réévaluation de sa rétribution. “Le salaire d’un directeur de société anonyme est décidé par son conseil d’administration, et non par la Direction des entreprises publiques et de la privatisation du ministère des Finances”, fait remarquer un syndicaliste.


Najib Laâraïchi

Holding d’Aménagement Al Omrane

60 000 DH nets /mois

Quand on interpelle un haut cadre du groupe Al Omrane sur le salaire de son patron, il ne comprend pas l’intérêt de la question. Il préfère plutôt s’attarder sur les réalisations du groupe, deuxième plus grand investisseur public après Autoroutes du Maroc. C’est qu’Al Omrane, avec sa quinzaine de filiales, est le fer de lance de la politique étatique en matière d’habitat, tous standings confondus. L’actuelle bonne santé financière du groupe est le résultat d’un long processus d’assainissement des anciens établissements publics (Erac, Anhi, Snec et Attacharouk). Son patron est un pur produit du ministère de l’Habitat dont il était le secrétaire général pendant plusieurs années. Outre son salaire de 60 000 dirhams et une voiture de fonction, le président du directoire d’Al Omrane ne dispose d’aucun avantage en nature. Même pas un logement de fonction.


Othmane Fassi Fihri

Autoroutes du Maroc

60 000 DH nets /mois

Depuis 1995, ce lauréat des Ponts & Chaussées officie à la tête d’une des entreprises d’Etat les plus emblématiques, Autoroutes du Maroc. Avant d’accéder à ce poste, ce natif d’El Jadida en 1954 a roulé sa bosse au ministère des Travaux publics, au sein duquel il a mis en place le fonds routier national, structure de financement du programme des routes rurales. Côté rémunération, le patron des autoroutes, malgré son ancienneté (et ses nombreux relais Fassi au sein du gouvernement), est loin d’être le plus gros salaire parmi ses collègues du département des Transports : à peine 60 000 dirhams, soit un salaire de ministre. Comme voiture de fonction, Othmane Fassi Fihri a opté pour un Hyundaï 4x4, pratique pour les visites de chantiers.


Mohamed Abdeljalil

MARSA Maroc

50 000 DH nets /mois

Cet ingénieur, directeur général de Marsa Maroc depuis la création de cette société anonyme, fin 2006, est un pur produit du ministère de l’Equipement et des Transports. Au sein de ce département, il s’est construit une réputation d’homme des réformes. C’est lui par exemple qui a mené les houleuses négociations avec l’Union Européenne pour l’accord de l’Open Sky. C’est également lui qui a eu en charge la mise en place de la réforme portuaire ayant transformé l’ODEP (Office d’exploitation des ports) en société anonyme. Il sera d’ailleurs promu à la tête de cette nouvelle entité avec un salaire de secrétaire d’Etat. Pour lui non plus, pas de prime annuelle. Peut-être après la privatisation de Marsa Maroc sur laquelle il penche actuellement. Avec un peu de chance, il pourrait même garder son poste, mais en travaillant cette fois-ci pour le privé. Avec un salaire sans doute plus grand.


Mostafa Terrab

Office Chérifien des Phosphates

300 000 DH nets /mois

Formé à l’américaine (lauréat du prestigieux Massachussetts Institute of Technology), Mustapha Terrab est aussi fort d’une longue carrière à l’international, aux Etats-Unis comme dans les pays du Golfe. C’est l’homme des dossiers épineux. En 1998, il a brillé à la tête de l’ANRT, réussissant le processus de libéralisation des télécoms. Sous Mohammed VI, il n’a pas hésité à claquer la porte avant de revenir en force en 2006, comme patron de l’Office chérifien des phosphates. Le plus vieil office du Maroc est maintenant transformé en société anonyme et, dans la foulée, Terrab négocie un salaire de rêve : 300 000 dirhams nets, soit 3 fois plus que ses prédécesseurs et surtout le plus haut salaire de la fonction publique. Bénéficiant d’une villa de fonction au quartier d’Anfa, il se déplace plus en Mercedes SLK qu’en Audi A8, ses deux voitures de fonction.


Ali Fassi Fihri

Office National de l’Electricité ET ONEP

100 000 DH nets /mois

Le matin, il est à Rabat pour s’occuper d’eau potable. L’après-midi, il est à Casablanca pour gérer l’électricité du pays. Ali Fassi Fihri est un véritable acrobate de la fonction publique. C’est peut-être cela qui lui a valu, en plus, d’hériter (depuis avril 2009) de la présidence de la Fédération royale marocaine de football, succédant ainsi au général Housni Benslimane. Une nouvelle mission pour laquelle cet ingénieur, qui figure parmi les fidèles du sérail, ne serait pas rétribué. Sa promotion à l’ONE en novembre dernier lui a déjà valu une augmentation de 20 000 dirhams sur le salaire qu'il percevait quand il n’était que “simple” patron de l’ONEP. Sa fiche de paie affiche aujourd’hui le chiffre rond de 100 000 dirhams. Un peu plus, quand même, que ses cousins Fassi du gouvernement.


Mohamed Rabie Khlie

Office National des Chemins de Fer

75 000 DH nets /mois

Quand Karim Ghellab a été nommé, en 2002, ministre de l’Equipement et des Transports, il a continué pendant près de deux ans à diriger l’ONCF. C’est d’ailleurs lui-même qui a choisi son remplaçant à ce poste, un de ses fidèles collaborateurs : Mohamed Rabie Khlie. Lauréat de l’Ecole Mohammedia des ingénieurs, Khlie a fait toute sa carrière à l’Office des chemins de fer. Il continue d’ailleurs sur la lancée de son ministre de tutelle : nouvelles rames, doublement des voies ferrées et extension du réseau national, sans parler du fameux projet de TGV, objet de nombreuses critiques. Khlie a gardé par ailleurs le même salaire que son prédécesseur : 75 000 dirhams nets par mois. En prime, la gratuité à vie pour les voyages en train… Comme tous les cheminots.


Abdelhanine Benallou

Office national des Aéroports

60 000 DH nets /mois

La modernisation des aéroports est plus que jamais une priorité pour le Maroc. C’est dans cette optique qu’en septembre 2003, le roi nomme un polytechnicien, Abdelhanine Benallou, au poste de directeur général de l’Office national des aéroports (ONDA). Le royaume, à l’époque en pleine campagne “10 millions de touristes”, négociait un accord d’Open Sky avec l’Union Européenne. Il était alors urgent de concocter un programme d’agrandissement des infrastructures existantes, en leur réservant un budget moyen dépassant un milliard de dirhams par an. Mais bien que le trafic aérien et les recettes aéroportuaires aient progressé, le salaire de Benallou n’a pas vraiment pris de l’altitude. Depuis sa nomination, il perçoit une rémunération nette mensuelle de 60 000 dirhams et dispose d’une berline française en guise de voiture de fonction.


Abdellatif Jouahri

Bank Al-Maghrib

250 000 DH nets /mois

Il a le titre de wali, mais son salaire n’a rien à voir avec les hauts fonctionnaires du ministère de l’Intérieur. La rémunération du patron de Bank Al-Maghrib est l’un des secrets les mieux gardés de la place. Même un ancien argentier du royaume, contacté par nos soins, n’a pu déterminer avec exactitude les émoluments de celui qui veille sur la politique monétaire du royaume, se contentant d’une petite indication (“Entre le salaire des patrons de banques publiques et celui des dirigeants de banques privées”). De source interne à Bank Al-Maghrib, on assure que le salaire de Jouahri tourne autour des 250 000 dirhams par mois. Cela dit, depuis sa création, il était de coutume que le wali de la banque centrale fixe lui-même sa rétribution. Une situation qui a changé avec l’arrivée en 2003 de Abdellatif Jouahri, reprenant le flambeau de Mohamed Sekkat parti à la retraite.


Mohamed Benchaâboun

Banque Centrale Populaire

120 000 DH nets /mois

C’est une très belle promotion à laquelle a eu droit celui qui a été le gendarme des télécoms pendant 5 ans. Début 2008, Benchaâboun succède à Noureddine Omary en devenant PDG de la Banque centrale populaire. Forte de ses 2,5 millions de clients, la BCP est de loin le premier groupe bancaire public. L’une des premières décisions prises par le nouveau PDG est de revoir la grille des salaires. Il faut dire que dans la galaxie des institutions financières nationales, la Banque populaire, malgré son poids, n’est pas connue pour gâter ses employés. A commencer par le président dont les émoluments, primes comprises, peuvent atteindre certains mois 400 000 dirhams. On est bien loin du niveau des banques privées dont les PDG flirtent avec le million de dirhams mensuels.


Ali Harraj

Crédit Immobilier et Hôtelier

120 000 DH nets /mois

L’information est tombée en avril 2009. Khalid Alioua, ancien ministre socialiste, quitte ses fonctions de PDG du CIH à l’issue de la réunion du conseil de surveillance de la banque. Il est remplacé par son adjoint, Ali Harraj. En 2002, Alioua, fort de son expérience au sein du cabinet Youssoufi, aurait négocié un salaire de 260 000 dirhams par mois, une petite prouesse pour une banque alors au bord de la faillite, et dont les malversations ont même fait l’objet d’un rapport parlementaire accablant. Cinq ans plus tard, le CIH s’est refait une santé, comptant même dans son tour de table l’une des plus prestigieuses banques françaises, la Caisse d’épargne. Si le nouveau patron garde pour le moment le salaire de second qu’il percevait jusque-là, la situation risque de changer dès qu’il aura fait ses preuves.


Hassan Boulaknadel

Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières

75 000 DH nets /mois

En février 2009, le Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) change de directeur. Hassan Boulaknadel succède à Dounia Tâarji. Le nouveau gendarme de la Bourse a derrière lui une quinzaine d’années d’expérience dans la gestion d’actifs financiers, notamment à la tête de BMCE gestion, appartenant à Othman Benjelloun. Côté rémunération, il est bien loin des standards fixés pour les cols blancs de la finance, dont il faisait partie, avec des primes frôlant parfois le million de dirhams. Au CDVM, son salaire ne dépasserait guère les 75 000 dirhams. Un montant légèrement inférieur à celui de Dounia Taârji. Côté avantages en nature, Boulaknadel se contente d’une voiture de fonction de marque BMW et d’une prime annuelle, mais dont le montant, là aussi, n’est pas comparable avec les généreux bonus de Si Othman.


Noureddine Bensouda

Direction générale des impôts

70 000 DH nets /mois

Etre patron du fisc, c’est quelque part être l’homme le plus puissant de l’économie du pays. Que ce soit vis-à-vis des entreprises qui tremblent toutes à l’idée d’être contrôlées un jour, ou encore vis-à-vis des pouvoirs publics dont les recettes fiscales sont la ressource numéro 1. Et qui dit recettes, dit forcément primes payées pour les hauts responsables des Finances. “Les primes atteignaient plusieurs centaines de milliers de dirhams. Mais le passage des socialistes avec le gouvernement d’alternance a changé la donne”, relativise un cadre des Impôts. Peut-être. Aujourd’hui, Bensouda se contente d’un salaire de base de 30 000 dirhams, en plus de 40 000 dirhams de primes versés mensuellement. Il ne dispose pas de logement de fonction puisqu’il préfère habiter son appartement cossu du Haut Agdal, à Rabat.


Tarik Sijilmassi

Crédit Agricole du Maroc

65 000 DH nets /mois

Lui aussi est président de banque, mais elle n’est pas de la taille de la BCP ou du CIH. C’est d’ailleurs une banque mal en point que ce lauréat de HEC Paris a intégrée en 2001. Mais aujourd’hui, le Crédit agricole est devenu la pierre angulaire de la nouvelle politique agricole du pays et affiche une bien meilleure santé financière. L’établissement s’est même permis le luxe de passer l’éponge sur les dettes accumulées par un million de petits agriculteurs. D’abord directeur général adjoint chargé du pôle clientèle, Sijilmassi a vécu de près toute la période de refonte de l’ancienne Caisse nationale du crédit agricole. Mais il y a encore du chemin avant que cette banque spécialisée ne joue dans la cour des grands. En attendant, le président se contente d’une mensualité de 65 000 dirhams et d’une Peugeot 607 de fonction.


Saïd Ibrahimi

Trésorerie Générale du royaume

50 000 DH nets /mois

Tous les chèques de l’Etat passent par son parapheur. En 2003, Saïd Ibrahimi accède à ce poste en remplacement de l’un de ses cousins, Mohamed Bernoussi. Ibrahimi avait géré de nombreux établissements publics, tel le Crédit agricole à la fin des années 1990. Aujourd’hui, son salaire paraît moins intéressant puisqu’il est assimilé à un secrétaire d’Etat avec une rémunération mensuelle de 50 000 dirhams (une Audi A6 pour voiture de fonction). Seule consolation, une prime annuelle dont le montant est jalousement gardé secret.


Fayçal Lâraïchi

Société Nationale de Radio et Télévision

95 000 DH nets /mois

C’est Monsieur audiovisuel du nouveau règne. Dès 1999, il est nommé par le roi à la tête de la télévision marocaine. Pour éviter le conflit d’intérêts, Lâraïchi a dû céder ses parts dans une des plus grandes sociétés de production du royaume, Sigma, dont cet ingénieur est l’un des fondateurs. Cette entreprise sera valorisée à coups de millions de dirhams une dizaine d’années plus tard, avec l’entrée du groupe de Benjelloun dans son tour de table. Dommage pour lui car, pendant de longues années, il n’a pas perçu plus de 50 000 dirhams par mois. Ce n’est qu’après avoir été promu président du pôle audiovisuel public qu’il a été augmenté, grimpant à 95 000 dirhams. Côté avantages, rien d’ostentatoire : une voiture de fonction Audi A6.


Salim Cheikh

Soread - 2M

70 000 DH nets /mois

Printemps 2008, le changement tant attendu à la tête de la deuxième chaîne de télévision est opéré. Salim Cheikh, jusque-là directeur du Service autonome de publicité (SAP), devient le nouveau n° 1 de Soread-2M. Mais ce trentenaire n’hérite pas pour autant de la position matérielle de ses prédécesseurs. Au lieu des 130 000 dirhams de Mustapha Benali, ou des 170 000 dirhams de Nourredine Saïl, Salim Cheikh a dû se contenter de 70 000 dirhams par mois. Il garde néanmoins quelques avantages offerts au directeur général de la chaîne de Aïn Sebaâ, comme l’indemnité de logement et la berline de luxe (Audi A6) mise à sa disposition. Sauf qu’il ne dispose pas de la carte bleue émise sur le compte de 2M et qui “chauffait” à l’époque de ses prédécesseurs.


Ahmed Ghazali

Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle

60 000 DH nets /mois

Selon le dahir instituant la HACA (Haute autorité de la communication audiovisuelle), son président a rang de ministre. A ce titre, il perçoit mensuellement un salaire de 60 000 dirhams. Ahmed Ghazali, ne bénéficiant pas de logement de fonction, habite sa propre villa située à Guich Loudaya à Rabat. Il dispose cependant d’une Mercedes comme voiture de fonction. Les huit autres membres du Conseil supérieur ont pour leur part rang de parlementaires, et perçoivent un salaire de 36 000 dirhams. Pour ce qui est des émoluments du directeur général de la HACA, poste occupé actuellement par Mustapha Moussaïd, la rémunération se chiffre à 55 000 dirhams par mois. Moussaïd bénéficie également, au même titre que les autres fonctionnaires, d’une prime annuelle équivalente à deux mois de salaire brut et l’administration met à sa disposition une Peugeot 607.


Ali Bouzerda

Maghreb Arabe Presse

50 000 DH nets /mois

Diriger l’agence de presse officielle du royaume revient à bénéficier d’un statut de quasi secrétaire d’Etat. Ali Bouzerda, nommé en janvier 2009 à la tête de l’agence MAP, au même titre que son prédécesseur Mohamed Khabbachi, jouit du salaire qui va avec : 50 000 dirhams. Un niveau légèrement supérieur à ce que percevait Bouzerda quand il occupait le poste de directeur d’information de la télévision publique. Mais les avantages à la MAP sont nettement plus intéressants : une indemnité de logement équivalente au loyer de la villa de Hay Ryad à laquelle avait droit Khabbachi, mais aussi deux voitures de fonction (une Audi A6 et une Honda CRV). Autre à-côté intéressant : le patron de l’Agence peut sillonner le monde, histoire de s’enquérir du fonctionnement des 19 bureaux MAP installés à l’étranger. En first class, bien entendu.


Saïd El Hadi

Agence Spéciale Tanger Méditerranée

80 000 DH nets /mois

Il pilote un des projets titanesques du nouveau règne. Le complexe portuaire Tanger Méditerranée, avec ses 250 hectares et ses dizaines de milliards de dirhams d’investissements prévisionnels, est un chantier voulu par Mohammed VI. Pour sa réalisation, on est allé jusqu’à sortir des schémas classiques de l’administration. Une agence spéciale dotée des pleins pouvoirs a été donc créée en 2006. Sa direction a été confiée à Saïd El Hadi, un ingénieur de formation qui a longtemps roulé sa bosse dans le privé. Dans sa mission, il n’a pas le droit à l’erreur : des visites royales sont régulièrement organisées pour superviser l’avancée des travaux. Un stress pour lequel El Hadi est rémunéré 80 000 dirhams par mois. Seul avantage en nature : une Mercedes classe E. Pour les primes, il devra sans doute attendre que le port se mette à gagner de l’argent.


Azzedine El MountassirBillah

Agence Nationale de Réglementation des Télécoms

50 000 DH nets /mois

Selon le dahir instituant l’Agence nationale de réglementation des télécoms (ANRT), son directeur a rang de secrétaire d’Etat. Ainsi, Azzedine El Mountassirbillah, au même titre que ses prédécesseurs, perçoit un salaire de 50 000 dirhams. Un traitement que l’on dit inférieur à son salaire à Maroc Telécommerce, qu’il dirigeait auparavant. Une information que l’intéressé n’a pas voulu confirmer, se contentant de préciser qu’il ne bénéficie pas d’un logement de fonction et qu’il roule en Audi A6, véhicule mis à sa disposition par l’administration. L’ANRT a permis pourtant à l’Etat d’encaisser son premier chèque dépassant le milliard de dollars en pilotant le processus exemplaire d’octroi de la 2ème licence GSM. C’était en 1999, du temps d’un certain Mostafa Terrab.


Mohamed Lambarki

Agence de l’Oriental

50 000 DH nets /mois

Fin connaisseur des rouages de la fonction publique, ce lauréat de l’Ecole Mohammedia des ingénieurs commande l’Agence de l’Oriental depuis sa création en 2006. Son passage à la wilaya de Tétouan, et auparavant à la tête du département de l’Habitat sous le gouvernement Youssoufi, lui a donné un aperçu complet des besoins de cette région. Mais pour Lambarki, prendre les rênes de cette agence ne s’est traduit que par une petite augmentation de salaire. Au même titre que les directeurs des autres agences de développement territorial (agences du Nord et du Sud), il a rang de secrétaire d’Etat. Son salaire ne dépasse pas les 50?000 dirhams. Il bénéficie néanmoins d’un véhicule de fonction : une Citroën C6. Son homologue Ahmed Hajji, directeur de l’Agence du Sud, préfère, lui, la Peugeot 607.


Mohamed Jamal Benjelloun

Agence Nationale des Ports

50 000 DH nets /mois

Diriger une autorité portuaire n’est pas une mince affaire. Mohamed Jamal Benjelloun ne le sait que trop. Celui qui était directeur des ports et du domaine maritime au sein du ministère de l’Equipement pendant deux ans a mené toutes les négociations pour la mise en place de la difficile réforme portuaire. C’est donc tout naturellement qu’il hérite en 2006 de l’Agence nationale des ports, organe gouvernemental de réglementation qui a sous sa tutelle les 18 quais du royaume. Ce super-fonctionnaire du département de Karim Ghellab perçoit un salaire de 50 000 dirhams. Il dispose, comme tout directeur dépendant du ministère de l’Equipement, d’une voiture de fonction avec chauffeur. Suffisant pour gérer tout le trafic portuaire du royaume ?

Señor Canardo

Citaat van: incognito op 16/01/2010 om 20:55:12
In Marokko zijn ze al wakker geworden, nu nog de amazigh.nl-leden... >




Marokko: Facebook helpt met nepotisme bestrijding

Meer dan 7 duizend 9.969 gebruikers van "Facebook" hebben een groep gevormd met de naam "met zo'n allen voor het beperken van de politieke invloed van de familie Fassi-Fihri in Marokko".  De groep wil een protest organiseren op 14 februari 2010, tegenover het Marokkaans Parlement.

Tussenstand aantal leden van de anti-Fassi groep op facebook: 15.961

Señor Canardo


Chatt zie arif

#69
Citaat van: incognito op 19/01/2010 om 19:51:02
Maar dat betekent nog niet a Chatt dat wij als Marokkaanse onderdanen geen kritiek mogen uiten op de grootverdieners uit de publieke sector van Marokko. Of wel soms? Klik hier voor een Nederlandse vertaling... >


Weet je het verschil tussen dirhams en euro's niet of mis ik iets?

Ik zie hele bescheiden bedragen,je moet bij elk bedrag dat je ziet een nul wegdenken (om bij benadering te wisselen naar euro's),dan blijven de bedragen mijns inziens ruimschoots binnen de perken.

Ook post je hier een foto van Fassi waarvan de hand wordt gekust,waarom begin je niet bij degene die aan de top van de voedselketen staat in Marokko? El Fassi en consorten kussen op hun beurt het handje van...

Laat ons wat foto-tjes zien van wie er allemaal het handje van de top-dog kussen incogniet/hypocriet ?


Señor Canardo

Luister eens a Chatt, ik ben hier om te vechten, maar niet met jou, maar voor me principes en rechten...

Chatt zie arif

#71
Citaat van: incognito op 19/01/2010 om 23:41:50
Luister eens a Chatt, ik ben hier om te vechten, maar niet met jou, maar voor me principes en rechten...


Beste Don Cognito,je vecht niet met mij,maar met de windmolen...


Je hebt dezelfde ziekte als je vriend Chakib el Khayari,je durft wel de honden te schoppen,maar de eigenaar van de honden keer je je rug toe. Tfoe,Chatt heeft een hekel aan dat soort hypocrieten!


TheCFO

Citaat van: Zwart-Hart-Chatt op 19/01/2010 om 23:56:45
Beste Don Cognito,je vecht niet met mij,maar met de windmolen...

Paciencia y barajar

Señor Canardo

#73
Noem me maar hoe je wilt noemen Chatt, maar als er 1 ding als een paal boven water staat, is dat ik er in deze discussie totaal niet toe doe. Deze discussie staat volledig in het teken van onderstaande 6 politieke slachtoffers van de oligargische Fassi’s en Fihri’s. Dus als je je steentje wilt bijdragen voor hen en iets voor hen â€" en dus niet voor mij â€" wilt kunnen betekenen. Kies dan maar 1 persoon uit zoals de militaire oudgediende Kaddour Terhzaz en doe wat je moet doen. Zo niet ook even goede vrienden en you may go about your business… >




>> Chakib el Khayari <<  deze actie is voor de amazigh.nl-leden die graag hun stem willen laten horen voor een Riffijnse mensenrechtenactivist.



>> Bachir Hazzam << deze actie is voor de amazigh.nl-leden die graag hun stem willen laten horen voor een Amazigh-student.



>> Zahra Boudkour << deze actie is voor de amazigh.nl-leden die graag hun stem willen laten horen voor een Amazigh-studente.



>> Kaddour Tehrzaz << deze actie is voor de amazigh.nl-leden die graag hun stem willen laten horen voor een Riffijnse kolonel uit de FAR.



>> Mohamed Benzian << deze actie is voor de amazigh.nl-leden die graag hun stem willen laten horen voor een anti-zionistische Marokkaanse ICT’er.



>> Fishelsewhere << deze actie is voor de amazigh.nl leden die graag hun stem willen laten horen tegen de kapitalistische uitbuiting van de Sahraoui’s.

MBTiza

Inco,

Was het niet Abdkader n 'Amar Uccan die met de Spanjaarden heulde?